04/2007 – TVG Magazine
Les sociétés traditionnelles peuvent-elles éclairer les impasses de notre temps ?

La destruction de la plupart des grands écosystèmes, d’une partie de la couche d’ozone et la crise climatique que le monde connaît aujourd’hui ne sont-elles pas la conséquence d’un siècle et demi d’oubli? Oubli que le vivant est le résultat d’un équilibre que l’on ne peut dérégler sans s’exposer à des bouleversements imprévisibles. Oubli des civilisations qui nous ont précédés et de leurs savoirs traditionnels, comme le soulignent Sabine Rabourdin et EricJulien. Oubli des liens subtils que ces populations, qui se raréfient au rythme de l’avancée de l’industrialisation, entretiennent entre elles et avec leur milieu naturel…

04/2007 – TVG Magazine
Les sociétés traditionnelles peuvent-elles éclairer les impasses de notre temps ?

La destruction de la plupart des grands écosystèmes, d’une partie de la couche d’ozone et la crise climatique que le monde connaît aujourd’hui ne sont-elles pas la conséquence d’un siècle et demi d’oubli? Oubli que le vivant est le résultat d’un équilibre que l’on ne peut dérégler sans s’exposer à des bouleversements imprévisibles. Oubli des civilisations qui nous ont précédés et de leurs savoirs traditionnels, comme le soulignent Sabine Rabourdin et EricJulien. Oubli des liens subtils que ces populations, qui se raréfient au rythme de l’avancée de l’industrialisation, entretiennent entre elles et avec leur milieu naturel…

04/2007 – TVG Magazine
Les sociétés traditionnelles peuvent-elles éclairer les impasses de notre temps ?

La destruction de la plupart des grands écosystèmes, d’une partie de la couche d’ozone et la crise climatique que le monde connaît aujourd’hui ne sont-elles pas la conséquence d’un siècle et demi d’oubli? Oubli que le vivant est le résultat d’un équilibre que l’on ne peut dérégler sans s’exposer à des bouleversements imprévisibles. Oubli des civilisations qui nous ont précédés et de leurs savoirs traditionnels, comme le soulignent Sabine Rabourdin et EricJulien. Oubli des liens subtils que ces populations, qui se raréfient au rythme de l’avancée de l’industrialisation, entretiennent entre elles et avec leur milieu naturel…